Audrey has a PhD in Microbiology from ENSIA – Massy in the INRA Unit “Bioadhesion and Material Hygiene Unit”. Audrey joined the Research Center of ArcelorMittal Stainless Europe, based in the north of France, in 2004 within the Surface-Corrosion department.
She’s in charge of the projects dealing with stainless steel surface properties such as surface hygiene, biofouling, antimicrobial materials, surface durability…She also works on the functionalization of materials to reduce fouling and/or to improve their cleanability while maintaining their ability to be in contact with food.

47 ans, est directeur de recherche à l’INRA. Il est ingénieur agronome, docteur de l’Agro de Montpellier (1989) et habilité à diriger des recherches en Génie des procédés depuis 2000 (Université Montpellier II).
Recruté à l’INRA en 1992, il intègre le Laboratoire de Biotechnologie de l’Environnement (LBE) à Narbonne où il mène des recherches sur le traitement biologique des effluents. Depuis 2004, il anime la thématique « Biofilms mixtes en réacteurs » au LBE. Il s’intéresse à l’impact des conditions opératoires sur le développement des biofilms en réacteurs et aux applications liées à l’environnement et aux bioénergies. Il est membre de l’équipe d’animation du Réseau National Biofilm (RNB). Il a publié plus de 80 articles dans des revues internationales à comité de lecture.

Ingénieur d'AgroParisTech, Théodore Bouchez a effectué une thèse en biotechnologie pour l'environnement à l'INRA LBE. Il a ensuite intégré le Cemagref pour y développer des recherches sur la microbiologie appliquée au traitement anaérobie de déchets. Il anime le laboratoire de microbiologie des bioprocédés du Cemagref d'Antony depuis 2007. Ses travaux de recherche s'appuient sur l'utilisation couplée d'outils de biologie moléculaire et de biogéochimie isotopique pour la compréhension du fonctionnement des écosystèmes microbiens complexes. Ces approches sont notamment appliquées pour l'optimisation de la dégradation des déchets ligno cellulosiques et pour la production de molécules d'intérêt à partir de déchets organiques. Il anime et coordonne de nombreux projets en partenariat académique et industriel dont le projet BIORARE (programme Investissement d'Avenir 2010).

40 years, Chargé de Recherches since 1999, INRA, UMR1319 Micalis
Romain Briandet has focus its researches on the microbial biofilms present in the food chain and their role in the persistence of pathogens. One of its main scientific line of interest is to identify the link between the 3D heterogeneity of biofilms (bacterial physiology, matrix components, nutrients) and the survival mechanisms of cells in the face of antimicrobial treatments. For that he has developed expertise on multimodal fluorescens imaging using confocal laser scanning microscopy. He is currently a partner in several network projects concerning control of biofilms.

Après un Doctorat en chimie analytique et contrôle de l’environnement de l'Université Louis Pasteur de Strasbourg, un post doctorat auprès du Conseil National de Recherches du Canada et un poste d’associée de recherche à l'Université Laval à Québec, Chantal Compère a intégré le laboratoire Matériaux Marins de l’Ifremer en 1992. Elle a été amenée à évaluer les effets des salissures marines sur les matériaux, en particulier les risques de corrosion localisée accrue des aciers inoxydables en présence de biofilms et à étudier les mécanismes d’adhésion des biofilms et salissures marines afin de mettre au point de nouveaux moyens de lutte antisalissures. Depuis 2004, elle a pris la responsabilité du Service Interfaces et Capteurs (IC), qui a entre autres pour objectifs, l’évaluation et le développement de nouvelles méthodes de lutte contre le développement de salissures marines sur capteurs et structures en mer (approches enzymatiques, utilisation de molécules naturelles produites par des bactéries marines, fonctionnalisations de surface, électrolyse de l’eau de mer…).

Catherine COTICHE est titulaire d’un diplôme d’ingénieur chimiste de l’Ecole Nationale Supérieure de Chimie de TOULOUSE. Elle intègre CFG Services, la filiale géothermie du groupe BRGM, en 1994 comme ingénieur chargée d’études dans les domaines de la corrosion et de l’environnement. En 2001, elle prend la direction d’un projet de développement d’une instrumentation de mesure de la biocorrosion des aciers au carbone dans le cadre duquel elle dépose un brevet français qui est délivré en avril 2006. En 2004, elle est nommée responsable du service hydrochimie –corrosion de CFG Services, poste qu’elle occupe à ce jour. A ce titre, elle est responsable des activités de prestations de services, de vente de produits et d’expertise dans les domaines de la corrosion, la microbiologie industrielle et l’environnement. Dans ce cadre, elle a développé au sein de CFG Services une expertise dans le domaine de la corrosion répondant aux besoins des industriels de la géothermie mais aussi des secteurs tels que l’eau, la chimie, la pétrochimie, le pétrole. Elle est membre du CEFRACOR (Centre Français de l’anticorrosion) et de la NACE (National Agency of Corrosion Engineers) International. Elle est Chevalier de l’Ordre National du Mérite depuis novembre 2010.

39 ans, responsable adjoint du service Stratégie et Innovation - Eco-Solution.

Après une formation de 3ieme cycle à l'Université des Sciences et Technologie de Lille 1, et une première expérience industrielle au sein de la division Food Specialties de DSM, il intègre l’Institut Pasteur Lille (IPL) en 1998. Ingénieur de recherche R & D puis responsable du Centre de Typage Moléculaire du service de Microbiologie en Hygiène Alimentaire de l’IPL, ses travaux ont essentiellement porté sur l’identification et la caractérisation moléculaire de bactéries, levures et moisissures associées à l’agro-alimentaire. Dans le cadre de projets ACTIA, il appréhende les problématiques de biofilms dans les ateliers de production industrielle. Il aborde également les biofilms dans le domaine hospitalier en collaborant avec le service de microbiologie de l’Hôpital Robert Debré de Paris et le CHRU de Lille. Enfin, une collaboration avec l’ATCC (American Type Culture Collection) sur la thématique Legionella aboutit à la rédaction d’un article scientifique sur la caractérisation moléculaire des Legionellaceae afin de pouvoir rapidement identifier et tracer ces bactéries souvent associées aux biofilms. En 2004, il rejoint la division Food Science de Bio-Rad et est impliqué dans la mise au point de milieux de culture et d’outils de diagnostic en microbiologie industrielle et environnementale. Enfin en 2008, il prend la responsabilité du laboratoire de microbiologie d’Eco-Solution et s’implique dans différents projets de bioremediation dont le projet COBIAS (COmpréhension du rôle du BIofilm bactérien et maîtrise de son développement lors du traitement d'eaux ArSéniées en bioréacteurs à lit-fixe) du BRGM.

Anne-Marie Delort est directrice de recherche au CNRS et dirigera dès janvier 2012 l’Institut de Chimie de Clermont-Ferrand. Elle met à profit son double parcours en biologie (Ingénieur en Génie Biologique de l’Université Blaise Pascal) et en chimie (Docteur-es-Sciences Physique de l’Université de Grenoble) pour développer des recherches à l’interface de ces deux disciplines. Son expertise est plus particulièrement centrée sur l’étude du métabolisme microbien dans un contexte environnemental en utilisant des moyens d’analyse comme la RMN. Les domaines d’application concernent la biodégradation de plastiques et de polluants organiques. En termes de recherche fondamentale, ses projets sont actuellement ciblés sur le rôle des microorganismes dans la dégradation de composés atmosphériques.

Cursus universitaire :

• 1976 Diplôme Universitaire de Technologie (DUT) Option Industrie Alimentaire IUT Créteil •1980 Diplôme d’Ingénieur Génie Biologique Université de Technologie de Compiègne (U.T.C.)
• 1981 DEA (UTC), microbiologie, technologie enzymatique, bioconversion.
• 1984 Diplôme de Docteur Ingénieur (U.T.C.)
• 1994 Habilitation à Diriger des Recherches en Sciences Naturelles ( USTL)

Parcours professionnel :

• 1984-1986: Ingénieur de recherche, UTC- GRADIENT
• 1986-1989: Assistant associé en GIA, IUT A Lille1
• 1989-1995 : Maître de conférences en GIA, IUT A Lille1
• 1995-2011 : Professeur en GIA, IUT A Lille1
• 2008-2011 : Directeur Laboratoire ProBioGEM (EA 1026)

Activités de recherche, programme et encadrement :

L’objectif de ces recherches est de développer dans le laboratoire une recherche en bioprocédé basée sur des approches micro-cinétique et macro-cinétique. La micro-cinétique permettra d’étudier le comportement des catalyseurs biologiques (enzymes, bactéries ou cellules) lors de leurs mises en œuvre en bioréacteurs. Cette approche permettra de concevoir de nouveaux bioprocédés et de modéliser les termes de réactions. Dans le cadre de la macro-cinétique on pourra s’intéresser à l’optimisation et à la maîtrise des bioprocédés qui sont toujours fort complexes, même si par moment ils semblent bien simples. Ainsi les concepts d’intensification de procédé amènent-ils à imaginer des couplages d’opérations originaux ou des modes opératoires nouveaux, où les transferts de quantité de mouvement sont associés aux transferts de matière, les bioréactions associées à des techniques séparatives pour améliorer la productivité et la sélectivité. Notre action porte plus spécifiquement sur le couplage de procédés bio catalytiques et à des techniques séparatives à membrane, avec l’objectif de développer une recherche amont sur le concept de couplage de procédés en étudiant spécifiquement : L’amélioration de la productivité et de la sélectivité d’obtention de peptides à activités ou propriétés physico-chimiques définies par couplage de procédés séparatifs à des bioréacteurs (réacteurs enzymatiques et fermenteurs à membranes). En ce qui concerne le couplage de réacteurs enzymatiques à des techniques séparatives nous cherchons à développer le concept de membrane contacteur en extraction liquide- liquide et d’électro-ultrafiltration à la séparation sélective des peptides. Nous cherchons d’autre part à développer un bioréacteur à membrane pour la production de lipopeptides (surfactine) par Bacillus subtilis : Modification qualitative et quantitative de la production de bio molécules par couplage d’une extraction continue à une fermentation à haute densité cellulaire. Ces recherches s’inscrivent dans le champ plus large de la valorisation de sources de protéines alimentaires (cruor porcin, concentré protéique de luzerne) par hydrolyse enzymatique contrôlée en réacteur à membrane : Conception, mise en œuvre, optimisation de procédés d’obtention d’hydrolysats peptidiques parfaitement définis à l’échelle pilote de 100 litres. Mise en évidence de propriétés d’usage des hydrolysats.

Production scientifique et encadrement

• 50 articles dans des journaux internationaux à comité de lecture, 62 communications orales et par affiches, nationales et internationales.
• Directions et codirections de thèse : 16

« Doté d’une expérience pluridisciplinaire, Jérôme Gabard a pendant quatre ans fondé puis dirigé une business unit au sein d’un cabinet franco-américain, spécialisé en marketing de la santé (2005-2009) : The MarkeTech Group.

Il assurait auparavant la direction et le développement de sa première startup, Euroclide, dans le domaine du criblage de cibles thérapeutiques RCPG : une entreprise qu’il a vendue en 2004 à la société Faust Pharmaceuticals (aujourd’hui Domain Therapeutics). Au changement de millénaire, il occupait le poste de Business Developer européen chez Qualicon, une entreprise qui commercialise des produits de diagnostique bactérien agro-alimentaire.

Recruté en tant que chef de département de R&D (1993-99), suite à un Post Doc (1989-1993) au sein du centre de recherche prestigieux de E. I. DuPont de Nemours (Wilmington, DE, USA), il a été exposé à tous les stades de développement d’un produit : de la paillasse au marché. Formé à l’international, il préside, aujourd’hui (2009 ->), la destinée de la société Pherecydes Pharma : une startup innovante, qui développe des produits anti infectieux à base de bactériophages1, pour lutter contre les infections nosocomiales. L’entreprise est actuellement en levée de fonds (3 M€) pour effectuer ses premiers tests chez l’homme. »

1 Virus tueurs de bactéries pour cibler les infections devenues résistantes aux antibiotiques

Après une thèse de doctorat réalisée à l’INRA de Dijon sur les mécanismes biogéochimiques des sols contributeurs à la production de gaz à effet de serre, il a intégré le BRGM à Orléans en 2001. Chercheur en Géomicrobiologie, ses travaux ont été essentiellement consacrés à la caractérisation des processus biogéochimiques des sols (surface et sous-sol) et des eaux souterraines impliqués dans la stabilité et le transfert de polluants. Il a de plus contribué depuis quelques années à développer et à coordonner au BRGM la thématique de recherche dédiée à la biogéochimie de l’environnement pour la gestion, la protection et la surveillance du sol, du sous-sol et des aquifères. Il a plus particulièrement développer et coordonner des projets de recherche consacrés aux « biofilms de l’environnement et leurs applications » ou encore à la « biosphère profonde » en lien avec l’exploitation et la valorisation du sous-sol.

Il est actuellement membre nommé au sein du Conseil Scientifique de l'INRA d'Orléans, membre suppléant pour le groupe thématique « Agro-écologie et Sols » pour l’alliance ALLENVI du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, et membre du Bureau du Réseau National Biofilms (RNB).

Nicolas Girardin a acquis ses premières expériences de recherche à l’Université de Pau et au Centre National de recherche du Canada (Montréal) sur l’étude de l’impact de polluants sur les communautés bactériennes et sur leur biodégradation.
Il a ensuite réalisé une thèse CIFRE (Université de Poitiers / Veolia Environnement) sur le développement de solutions innovantes pour la maîtrise des légionelles dans l’eau. L’obtention de son doctorat a été suivie par la réalisation d’une mission supplémentaire pour Veolia Environnement et par la création d’une entreprise individuelle (Bio-Inno conseils) proposant des services d’état de l’art et de conseil dans le domaine des biotechnologies.
Depuis octobre 2010, il travaille au sein du service de propriété industrielle d’une startup (Pharnext) développant de nouveaux médicaments. Il y est en charge, entre autres, de la protection des innovations et de la gestion du portefeuille de brevet.

Jean Hache, ancien directeur scientifique d’une société de recherche sous contrat (Bertin & Cie) a initié de nouvelles activités et favorisé le démarrage de nouvelles entreprises, notamment dans le secteur des biotechnologies, en traitant toutes les analyses allant de l’étude technologique à la création de plans d’affaires, en passant par les études de marché, les analyses de positionnement concurrentiel, la mise en place de programmes de R&D et la promotion de produits ou services. Il a contribué à la création du Généthon, le laboratoire créé par l’AFM pour accélérer les travaux sur le génome humain et les maladies génétiques, avec le Professeur Daniel Cohen.

Jean Hache a également mis en place et dirigé une formation d’enseignement supérieur dans un établissement de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris, ESIEE Management. Cette formation, qui délivre le grade de Master, associe étroitement les sciences de la vie et le management et sciences de gestion.

Jean Hache est actuellement consultant, spécialiste en stratégie et innovation technologique et en formation, et membre du bureau d’Adebiotech.

Yann Héchard est enseignant-chercheur depuis 1993 à l’Université de Poitiers. Il est actuellement responsable de l’Equipe de Microbiologie de l’Eau. Son activité est principalement dédiée à la compréhension et à la maitrise de la croissance Legionella pneumophila et des amibes dans l’eau, en relation avec les biofilms. Après avoir travaillé une quinzaine d’années sur la caractérisation et le mode d’action de peptides antimicrobiens, Yann Héchard a étendu ses recherches à d’autres antimicrobiens (désinfectants de l’eau) et aux interactions de Legionella pneumophila avec les biofilms et les amibes.

Armand KLEM, 52 ans, est titulaire d’une maitrise de sciences et techniques du Bois (ENSTIB Epinal) et d’un diplôme d’ingénieur papetier (PAGORA/EFP Grenoble).
Après plusieurs expériences professionnelles dans l’industrie de l’ameublement et de la transformation du papier ,il rejoint en 1991 le groupe Norske Skog, leader européen dans les papiers de presse (usine de Golbey) comme ingénieur de production spécialisé dans le process de recyclage des papiers récupérés (désencrage).
Il a ensuite occupé différents postes à responsabilités autant en production et qu’en développement. En 2006 ,il rejoint la cellule de R&D groupe comme spécialiste senior dans les process de fabrication des pâtes et de gestion des eaux . Depuis il a initié ou participé à différents projets collaboratifs de recherche : Stickies (FUI), BioFime (ANR), SorTiT et Demowood (Européens).
Il est membre du bureau du Pôle de Compétitivité Fibres et de la commission R&D de la Copacel.

Danielle Lando est titulaire d'un doctorat d'état obtenu à l'Institut Pasteur pour la recherche en virologie. Elle a effectué sa carrière dans l'industrie pharmaceutique ou elle a exercé des fonctions de chercheur en pharmacologie cellulaire et moléculaire avant de prendre la responsabilité des biotechnologies au sein de Roussel Claf devenu Aventis. Elle a œuvré pour des rapprochements entre son entreprise et le secteur académique en soutenant des projets collaboratifs. Elle a été membre nommé au Comité National du CNRS de 1995 à 2000.
Depuis 2001, elle exerce des activités scientifiques bénévoles au sein du comité Adebiotech et est actuellement vice Présidente de Adebiotech.

Vice-Président de l’« Association Scientifique Européenne pour l’Eau et la Santé » (ASEES), Vice-Président du « Centre Français de l’Anticorrosion » (CEFRACOR)

Après don DEA effectué à l’Université de Technologie de Compiègne (UTC), Florence Ménard-Szczebara a effectué son doctorat en microbiologie au laboratoire de Bactériologie-Hygiène du CHRU de Lille.

Elle ensuite élargie ses compétences en biologie moléculaire en réalisant un post doc en biotechnologie dans le cadre d’une collaboration entre le CNRS de Gif sur Yvette (Centre de Génétique Moléculaire - équipe de D. Pompon) et Aventis pharma. Cette collaboration a débouché sur la production en fermenteur industriel d’hydrocortisone par une levure humanisée.

Puis, elle a travaillé 7 ans en tant que chercheur, puis chef de projets, chez Veolia Environnement en microbiologie environnementale (2 ans en recherche analytique et 5 ans en procédé de désinfection de l’eau). C’est à cette occasion qu’elle s’est intéressée à la thématique biofilm, notamment dans la problématique Légionellose, mais aussi plus globalement dans le cadre de la désinfection de pathogènes d’origine hydrique (virus, bactéries, protozoaires) nichés dans les biofilms. Elle a participé activement (WG leader) à deux projets européens sur cette thématique : SAFER et SECUREAU, et a travaillé à la normalisation de méthodes alternatives (PCRQ) pour l’analyse de l’eau.

En 2009, elle a rejoint la Direction Internationale de la Microbiologie de L’OREAL, où elle gère des projets relatifs à la microflore cutanée et à la conservation des produits cosmétiques.

PhD in microbiology, graduate of the Ecole Nationale Polytechnique of Toulouse. Scientific and general manager of a laboratory dedicated to medical device evaluation since 1999 (BIOTECH-GERMANDE Parc Scientifique de Luminy-163 Avenue de Luminy case 927 – 13288 Marseille cedex 9)

Activities within French, European and International standardisation authorities

• Convenor of S90W working group "washer-disinfector" of the French Association for Standardisation (AFNOR).
• Convenor of S90H working group "Endoscope storage/drying cabinet" of the French Association for Standardisation (AFNOR).
• Convenor of S94V working group "Disinfection process for medical devices" of the French Association for Standardisation (AFNOR).
• Member of S95R working group "Sterilization and disinfection" of the French Association for Standardisation (AFNOR).
• Member of CEN TC 102 (European Standardisation Committee technical committee 102 working group 8 "Washer-Disnfector") in charge of international standards specifying the performance of washer-disinfectors
• Member of the permanent vigilance group on disinfection of the National Technical Committee on Nosocomial Infections (CTINILS French Health Ministry).
• Member of working group on "cleaning efficacy tests" of the French Health Products Safety Agency (AFSSAPS).
• Member of the ISO working group 13 " Test methods for cleaning efficacy".
• Project leader of the European Working Group of CEN TC 102 in charge of the standard specifying the performance of storage/drying cabinet.